Il s’appelait Aylan Kurdi

En moins de 24 heures, la photo a fait le tour du monde. Elle montre le corps sans vie d’un petit enfant syrien gisant sur une plage de Bodrum, en Turquie.

Face contre terre, le petit Aylan Kurdi, 3 ans, a été retrouvé par les autorités turques, le 2 septembre 2015, non loin des corps de son frère Galip, 5 ans, et de sa mère. Seul son père, a été retrouvé vivant. Au total, 12 personnes se seraient noyées après le naufrage de leur embarcation, qui faisait cap vers l’île grecque de Kos.

Ce n’est pas la photo qui est le plus choquant, c’est la situation de ceux qu’on appelle « les migrants » depuis des mois et des mois. Ce sont des femmes, des hommes, des enfants qui veulent échapper aux extrémistes, aux violences, à la guerre…

Alors certes, on ne peut pas accueillir « toute la misère du monde », mais on doit en prendre notre part.

C’est aussi dans ces moments dramatiques que l’on peut se dire que nous, nous avons de la chance d’être né dans un pays en paix.

Que ferions nous à la place de ces personnes ?

A nos politiques de trouver des solutions à la fois humaines et justes envers ces êtres humains.

 

 

4 Comments

  1. Michel Onfray : « On criminalise la moindre interrogation sur les migrants »
    Cette fois j’adhère à cette analyse par Michel Onfray sur les méthodes propagandistes relevant de pratiques médiatiques staliniennes sur la question dite « des migrants » propagées par …
    Suites :
    http://laicite-moderne.blogspot.fr/2015/09/le-petit-monde-stalinien.html
    ou sur :
    http://laiciteetsociete.hautetfort.com/archive/2015/09/11/le-petit-monde-stalinien-5683416.html

Répondre à Crab2 Crab Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.