Best of des déclarations d’Emmanuel Macron

Voici une compilation des pires déclarations d’Emmanuel Macron :

1. « Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord. »
2. « Il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires. »
3. « Bien souvent, la vie d’un entrepreneur est bien plus dure que celle d’un salarié, il ne faut pas l’oublier. Il peut tout perdre, lui, et il a moins de garanties. »
4. « Il y a dans cette société une majorité de femmes. Il y en a qui sont, pour beaucoup, illettrées. »
5. « Le libéralisme est une valeur de gauche »
6. « Les salariés doivent pouvoir travailler plus, sans être payés plus si les syndicats majoritaires sont d’accord. »
7. « Le FN est, toutes choses égales par ailleurs, une forme de Syriza à la française, d’extrême-droite. »
8. « Je n’aime pas ce terme de modèle social. »
9. « Être élu est un cursus d’un ancien temps. »
10. « Vous n’allez pas me faire peur avec votre t-shirt, la meilleure façon de se payer un costard c’est de travailler. »
11 « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher »
12   Je dis aux jeunes : « ne cherchez plus un patron cherchez des clients »
13 « La France est en deuil d’un roi »
14 « Je suis pour une société sans statuts »
15 « Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants »
16 « Le chômage de masse en France c’est parce que les travailleurs sont trop protégés »
17 : Il qualifie ceux qui, au sein du PS, s’opposent à sa loi (308 articles réactionnaires dont le travail le dimanche, de nuit, ou la privatisation du don du sang) de « foyer infectieux »

 

Que dire à part : BON VENT !

 

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source : gerardfiloche.fr

6 Comments

  1. A part le diagnostic sur le fonctionnement de l’Etat – que j’approuve et exprime depuis longtemps – je trouve juste la réflexion de Valls sur l’expérience qu’il faut avoir pour être Président. Ne nous y trompons pas. Il s’agit de l’expérience de la vie politicienne, de l’ordre établi en matière de pouvoir à tous les niveaux.
    Macron, c’est l’agneau de La Fontaine.
    « Sire comment l’aurais-je fait si je n’étais pas né…
    La raison du plus fort est toujours la meilleure « 

  2. La Macronnerie du jour

    « Celui qui paye doit être celui qui gère »

    Imaginez un instant que celui qui paye sa marchandise dans le magasin soit celui qui gère le magasin ?
    Que celui qui paye ses impôts soit celui qui gère la fiscalité ?
    Que celui qui paye ses contraventions soit celui qui les gère ?
    Que celui qui paye les retraites soit celui qui les gère.
    Une connerie
    C’est la définition même du conflit d’intérêt !

    Car celui qui paye a besoin d’un service qu’il n’est précisément pas capable de faire lui-même, s’il savait gérer ce service il serait donc capable de l’offrir lui-même et n’aurait plus besoin de payer. Et s’il le gère il le fera évidement en fonction de ses propres intérêts et le service n’existera plus.

    Confiez la gestion des banques aux plus riches qui payent le plus, vous verrez comment ces banques sauront les enrichir encore plus en ponctionnant tous les plus pauvres !
    Ah ? C’est déjà le cas ? Ah bon alors je comprends pourquoi Macron, bébé de Rothschild, a pu dire une telle macronnerie !

  3. Europe 1 fait de la pub pour Macron invité de Vie Politique sur TF1 ce soir 11 décembre 2016. Quels sont ceux qui financent cette pub déguisée pour ce technophile béat limite transhumaniste docteur foldingue et scientiste pas mal allumé, biberonné aux « valeurs » de l’ultralibéralisme et de la finance voyoucrate , enivré par son succès médiatique ? Est-ce que cette page de pub sera comptabilisée dans ses comptes de campagne. Ce ploutocrate ne veut pas dévoiler qui sont les richissimes soutiens qui financent sa « secte » de marcheurs en rond, mais on peut se demander si déjà les dirigeants de ces deux médias n’en font pas partie.
    Ce gugus n’est pas le candidat du travail, mais le candidat de l’humain robotisé, lobotomisé, et uberisé, (l’humain déshumanisé en somme, c’est une tentation transhumaniste), pour en faire une sorte de chair à canon sacrifié sur l’autel de la finance par le grand patronat. A propos de travail, le mot vient de l’ancien français travail au XII siècle signifiant « tourment, souffrance », du bas latin tripálĭus au VI siècle, du latin tripálĭum (instrument de torture à trois poutres), alors que l’on m’explique en quoi est-ce une valeur ? « Les civilisations les plus raffinées, les plus exquises, ayant toujours tenu le loisir pour le souverain bien, il est naturel que la nôtre, grossière et totalitaire, se soit fait un dieu du travail. Le trait de génie est d’être parvenu à convaincre nos infortunés contemporains que ce qui les rend esclaves, les rend libres. C’est l’imposture déguisée en vérité dogmatique et malheur à qui dénonce la supercherie. » Le travail est un facteur d’intégration dans la société dit-il … certes mais quand certains patrons gagnent 30 à 500 fois ce qu’ils vous octroient avec condescendance comme salaire, ils vous disent clairement leur mépris, je ne parle pas des petits patrons, appelons les simplement artisans ça na rien de péjoratif au contraire. Trêve de digressions on ne saurait s’arrêter sans cela.

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