Ce 21 septembre 2019 se tient la 26ème édition de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, pathologie qui touche plus de 35 millions de personnes dans le monde.
La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées sont les pathologies neurodégénérative les plus fréquentes.
Aujourd’hui en France, on estime à environ un million le nombre de personnes souffrant de ce type d’affections.
Avec les aidants, ce sont près de 3 millions de personnes qui sont directement ou indirectement touchées par la maladie d’Alzheimer.
Selon l’association France Alzheimer, 1 Français sur 4 de plus de 65 ans sera concerné par la maladie en 2020.
Les perspectives pour les années à venir sont inquiétantes : 1.275.000 cas en 2020 (soit 2 personnes pour 100 habitants) et de 2.100.000 de cas en 2040 (soit 3 personnes pour 100 habitants) seront recensés.
En France, il est détecté 225.000 nouveaux cas par an et l’espérance de vie après l’apparition des symptômes est en moyenne de 8,5 ans.
La maladie d’Alzheimer est à évolution progressive, aujourd’hui incurable, elle va bouleverser de plus en plus la vie du malade et de son entourage, entrainant de difficiles répercussions physiques, psychologiques et sociales.
En effet, les proches communément appelés « aidants » sont également touchés par ricochets par les effets dévastateurs de la maladie.
A ce jour en Europe, la maladie d’Alzheimer représente la première cause d’épuisement des aidants et d’entrée en institution.
Elle représente un véritable défi de santé publique pour nos sociétés.
A noter aussi que la maladie d’Alzheimer coûte plus de 19 milliards par an en France.
En 2017, à l’occasion de l’élection présidentielle j’avais fait des propositions sur cette thématique sur la plateforme des conseils citoyens de Benoit Hamon
J’en profite pour parler du métier d’intervenant psychosocial Alzami que j’ai eu le plaisir d’exercer pendant près de 5 ans chez OLOGI, Entreprise sociale et solidaire :
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