Il y a 25 ans, en novembre 1992, sortait le premier album de Rage Against The Machine (RATM).
A coups de cris et de riffs de guitares, Rage Against The Machine avaient été parmi les premiers à mêler hip hop et métal pour une musique contestataire à l’esprit rock, dénonçant la politique étrangère américaine et le capitalisme.
Dès le premier accord de « Killing in the name », les amateurs du rock se remémorent immédiatement la frénésie qu’à engendré ce groupe culte du rock alternatifs des années 90.
25 ans après, les riffs de Tom Morello, les cris de Zack de la Rocha ne sont pas prêts d’être oubliés : «Fuck you I won’t do what you told me !».
Comme la plupart des chansons du groupe, « Killing in the Name » dénonce les liens entre les pouvoirs en place et le Ku Klux Klan comme en témoignent les vers « some of those that work forces, are the same that burn crosses » (Certains de ceux qui travaillent [au service de] la force, sont les mêmes qui brûlent des croix) « Those who died are justified, by wearing a badge, they’re the chosen whites » (Ceux qui meurent sont justifiés, en portant un badge, ils sont les Blancs élus).
Une chanson culte pour un groupe culte.
Quand à l’album, je place au Panthéon du rock à coté du Nevermind de Nirvana, Toxicity de System of a Down ou encore Kill ‘Em All de Metallica.
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