Juin 2017 : « Si Richard Ferrand était mis en examen, il serait immédiatement démis de ses fonctions »
C’est ce que disait Christophe Castaner à l’époque porte parole du Gouvernement en citant une « règle fixé par le premier ministre (Edouard Philippe » suite aux premières révélations de l’affaire des mutuelles de Bretagne dans laquelle Richard Ferrand, alors ministre de la cohésion des territoires était cité.
Septembre 2019 : Richard Ferrand, aujourd’hui Président de l’Assemblée nationale et 4eme personnage de l’Etat est mis en examen pour « prise illégale d’intérêt » dans la même affaire.
Richard Ferrand « n’entends pas du tout démissionner » comme il l’a évoqué récemment.
Que valent aujourd’hui les propos de Christophe Castaner et la règle établie par Edouard Philippe ?
Juin 2017 :
— Arnaud MOUILLARD ✊✊ (@ArnaudMouillard) September 12, 2019
"Si Richard Ferrand était mis en examen, il serait immédiatement démis de ses fonctions"https://t.co/2hbg8ccNsC
Toujours d'actualité @CCastaner @EPhilippePM @EmmanuelMacron ???#AffaireFerrand #Ferrand #Macron #Bretagne
M.Ferrand, 1er représentant de l’assemblée du peuple, a déjà répondu à cette mise en examen:un doigt d’honneur !!!M.Ferrand est au-dessus de tout soupçon puisqu’il est PRESIDENT de l’assemblée nationale:allez circulez, il n’y a rien à voir, c’est strictement privé !