En nommant Elisabeth Borne Première ministre, Emmanuel Macron se tourne une fois de plus vers un profil de premier ministre ayant une politique antisociale et d’inaction climatique.
Ministre du travail, il est a retenir :
-la réforme de l’assurance-chômage qui a fait perdre en moyenne 250 euros mensuel aux personnes privés d’emploi ayant cotisée
-la réforme de la SNCF qui a changé le statut des cheminots et qui a ouvert à la concurrence le réseau…
Ministre de l’environnement pendant un an, à son bilan on peut retenir :
-le non respect de la convention citoyenne sur le climat : la ministre assurait avant de quitter son poste que 146 de ces 149 propositions seraient « mises en œuvre » par le gouvernement, au final « Le Monde » estime pour sa part que 18 ont été reprises totalement et 78 partiellement…
-le maintien de l’avantage fiscal sur l’huile de palme
-la condamnation par le Conseil d’État sur la pollution de l’air sans parler du report de la sortie du glyphosate…
La nouvelle premier ministre Élisabeth Borne incarne ainsi la continuité de la politique du président de la République qui après un premier quinquennat très à droite va continuer avec une logique de poursuite des réformes contre les travailleurs, en faveur des grandes entreprises et des plus riches.
Notre seul chance d’éviter cela, voter pour les candidat(e)s de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale aux élections législatives des 12 et 19 juin !
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