Nicolas Sarkozy a été condamné pour la deuxième fois cette année à de la prison ferme (un an) en première instance dans l’affaire Bygmalion où il a été reconnu coupable du « financement illégal » de sa campagne présidentielle de 2012.
Il avait été déjà condamné le 1er mars à trois ans de prison (dont un an ferme) en première instance pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite « des écoutes ».
S’il est condamné définitivement à l’issue de ces appels, ces peines sont aménageables en détention à domicile sous surveillance électronique.
Il y a quelques années, l’ancien chef d’Etat avait déclaré « Je souhaite qu’il n’y ait pas de mesures d’aménagement de peine pour les peines supérieures à 6 mois ».
Chiche ?
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